L’ONU accuse de nouveau Israël
Accusations de génocide contre Israël
Dans un rapport publié jeudi, des experts des Nations Unies ont accusé Israël de commettre des actes de génocide contre les Palestiniens de Gaza, en ciblant leur « capacité de reproduction ». Selon la Commission d’enquête internationale des Nations Unies, Israël aurait pris des mesures systématiques visant à empêcher les naissances et détruire des établissements de santé pour femmes, notamment en période de conflit. Ces actions auraient contribué à une augmentation des décès liés à la maternité, en raison des restrictions d’accès aux fournitures médicales essentielles.
La commission qualifie ces actes d’« extermination », une catégorie de crime contre l’humanité définie par le Statut de Rome, et les considère comme des violations graves des droits fondamentaux des Palestiniens. Les experts ont également affirmé que les forces de sécurité israéliennes auraient utilisé la violence sexuelle comme une tactique de guerre pour punir les Palestiniens à la suite des attaques du Hamas contre le sud d’Israël en octobre 2023. Cette pratique inclurait le déshabillage forcé en public et des agressions sexuelles, des actes qu’Israël a fermement niés.
La mission permanente d’Israël auprès de l’ONU à Genève a rapidement réagi à ces accusations en les qualifiant de non fondées, partiales et sans crédibilité. Selon Israël, l’armée israélienne a des directives strictes interdisant de telles violences. Les autorités israéliennes insistent également sur le fait que leurs enquêtes internes respectent les normes internationales et visent à prévenir tout abus.
L’ONU n’a pas épargné Israël dans ses rapports précédents, notamment dans un document publié en juin 2024, qui accusa également le Hamas et d’autres groupes armés palestiniens de violations des droits humains pendant l’attaque du 7 octobre 2023. Cette attaque du Hamas, qui a tué plus de 1 200 civils israéliens et pris 251 otages, a entraîné une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza. Le conflit a causé la mort de plus de 48 000 Palestiniens, selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas.
Israël, qui est partie prenante de la Convention sur le génocide, a été condamné en janvier 2024 par la Cour internationale de justice (CIJ) à prendre des mesures pour empêcher des actes de génocide pendant sa guerre contre le Hamas. Cependant, Israël n’est pas partie au Statut de Rome, ce qui limite la compétence de la Cour pénale internationale (CPI) pour statuer sur des cas individuels de génocide ou de crimes contre l’humanité.
Par ailleurs, l’Afrique du Sud a porté plainte contre Israël pour génocide auprès de la CIJ, faisant écho aux accusations de la commission des Nations Unies. Ces allégations s’ajoutent à un climat international déjà tendu autour du conflit israélo-palestinien. En dépit de ces accusations, Israël maintient sa position, affirmant que ses actions visent à se défendre contre le terrorisme et à protéger ses citoyens face aux menaces posées par des groupes comme le Hamas.
La guerre à Gaza, qui dure depuis octobre 2023, est marquée par des violences extrêmes des deux côtés, avec des pertes humaines tragiques parmi les civils. Les actions de l’armée israélienne sont constamment surveillées par la communauté internationale, mais Israël insiste sur le fait que son objectif est de détruire les infrastructures terroristes du Hamas, et non de punir collectivement les Palestiniens.
Dans ce contexte, Israël se défend vigoureusement contre les accusations portées par l’ONU, réaffirmant que ses actions sont conformes à son droit à la légitime défense face à des groupes terroristes, et rejetant les critiques qui remettent en question sa conduite militaire. Les autorités israéliennes soutiennent qu’elles font face à une guerre asymétrique, où des civils palestiniens sont utilisés comme boucliers humains par les militants du Hamas, compliquant davantage la situation sur le terrain.
Face à ces accusations et à la pression internationale, Israël semble déterminé à poursuivre ses opérations contre le Hamas, tout en cherchant à minimiser les pertes civiles. Les efforts diplomatiques pour parvenir à un cessez-le-feu continuent, mais la situation demeure extrêmement complexe et incertaine.
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C’est quand qu’on se retire de ce trou à merde immonde et qu’on retrouve enfin notre dignité?!…
Le Responsable de l’ONA (En fait, il n’y a plus d’ONU mais l’ONA – Organisation des Nations Antisémites).n’en peut plus de vomir son fiel antisémite.